La question des compétences dites « usurpées », qui doivent mener à une économie de l’ordre de 250 à 300 millions d’euros, a fait grand bruit dans le cadre des ajustements relatifs au budget 2012 de l’État fédéral. Alors qu’aucune décision définitive n’a été prise à ce sujet l’an dernier, la liste de ces compétences refait aujourd’hui surface à l’occasion des pourparlers budgétaires 2013. Elle fait de nouveau planer l’incertitude sur le sort de la coopération universitaire au développement voire le spectre d’une brutale cessation d’activités sur les acteurs concernés. Les recteurs des universités francophones demandent la clarté.
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