Nous avons une seule certitude sur l’organisation de l’enseignement supérieur en Belgique francophone : il est temps de trancher. Pas dans deux jours, mais plus dans un an. Et pas aux calendes grecques. L’enseignement supérieur est l’un des vecteurs principaux de la prospérité de l’espace Wallonie-Bruxelles, de sa capacité d’innovation et de son rayonnement international. Il faut qu’il cesse d’être entre deux réformes comme aujourd’hui, entre craintes et incertitudes. Cela fait deux ans que l’on attend la suite de l’échec du précédent plan, basé sur le regroupement des différentes institutions en académies sur base confessionnelle....
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