Les plantes optimisent leur croissance en se souvenant du stress hydrique qu'elles ont subi pour ajuster les mouvements d'eau dans les racines. C'est ce que révèlent des chercheurs de l'Inra et de l'Université catholique de Louvain, grâce à un dispositif de mesures précises de la croissance d'un grand nombre de plantes en conditions naturelles. Publiés dans Nature communications, ces travaux constituent la première explication physiologique d'un mécanisme participant à l'avantage évolutif des plantes associé aux rythmes circadiens.
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