Trouver des molécules capables d’assumer à elles seules le rôle de transistor ou de diode, tel est le défi relevé par des chercheurs de l’UCL en collaboration avec l’Université de Stanford
En électronique, la quête incessante à la miniaturisation pousse à la conception de dispositifs toujours plus petits et plus efficaces. Mais le silicium, matériau qui compose la plupart de ces dispositifs aujourd’hui et qui a révolutionné toute l’électronique, commence à montrer des limites physiques. Plus le système en silicium est petit, moins sa réponse est contrôlée. Au point que les scientifiques se sont déjà mis à la recherche d’autres matériaux mieux adaptés aux formats miniatures.
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