Dans une étude publiée dans PLOS ONE, des chercheurs de l’UCL montrent pour la première fois l’effet extrêmement délétère de l’acide aristolochique sur un gène suppresseur de tumeur.![]()
Son nom ne vous évoque peut-être rien mais la néphropathie aux acides aristolochiques (NAA) (appelée également « néphropathie aux plantes chinoises (NCP)») a fait grand bruit dans les années 90. Aujourd’hui, elle continue de servir d’exemple pour mettre en garde contre les médecines naturelles, pas toujours dépourvues d’effets secondaires...