« Il ne peut pas y avoir de développement durable sans liberté ». Cette équation vertueuse sera au centre des débats lundi et mardi au siège de l’UNESCO à Paris, à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse. Aiguillonnés par des dizaines d’ONG, un certain nombre d’Etats cherchent en effet à inscrire dans les textes officiels des Nations unies l’idée que la liberté de la presse est un levier essentiel de la bonne gouvernance et donc d’un développement équitable et durable...
UCL's insight:
Billet de Jean-Paul Marthoz, chroniqueur au Soir (Bruxelles), professeur de journalisme international à l’Université catholique de Louvain et à l’IHECS